TOP TEN
Mon top ten totalement subjectif des plus beaux moments vécus en neuf éditions de Vieilles Charrues:
1) Cali, Je m'en vais, 2006: belle chanson, magnifique chanteur, subtil mélange d'énergie et d'émotion, un slam géant de la régie à la grande scène, Cali se tapant le micro contre son coeur en rythme avec la musique. Enorme.
2) M, Gimmick, 2004: une vraie rock-star de son entrée sur scène à sa sortie, un look unique, un décor magistral, et puis cette chanson totalement magique, il fait monter sur scène un anonyme du public pour qu'il nous joue son gimmick, c'est un petit gars tout de rose vêtu qui est l'heureux élu, il se retrouve devant 55000 personnes, il joue un morceau génialissime, M avait dit qu'il interromprait quand il en aurait marre, il n'a pas interrompu.
3) Dyonisos, Song for a jedi, 2006: une intro béton, jusqu'aux fameux accords qui font frétiller le public de bonheur, et le chanteur hyperactif qui se jette lui aussi dans la fosse pour se faire porter en triomphe jusqu'à la régie d'où il déclame quelques vers au porte-voix avant de regagner la scène par le même chemin (le plus court en distance, pas en temps), il arrive exténué mais heureux.
4) Cali, C'est quand le bonheur?, 2004: le rugbyman hypersensible exulte, il n'a probablement jamais vu autant de monde s'exciter sur une de ses chansons, il trouve finalement la réponse à sa question: "Le bonheur, c'est aujourd'hui, ici à Carhaix".
5) Muse, Time is running out, 2004: la terre tremble en mesure avec la basse, une déferlante de riffs et de percussions s'abat sur le public, le temps ne court plus, il s'arrête.
6 ex-aequo) Zebda, Tomber la chemise, 1998, et Joe Cocker, You can leave your hat on, 2000: des chansons festives, une subite envie de se déshabiller, des tee-shirts et même des soutien-gorges qui tournoient dans les airs.
8) Noir Désir, Tostaky, 2001: nuit noire sur Carhaix, même si Bertrand Cantat confond un gros lampadère au loin avec la lune, un groupe culte, une chanson qui dynamite tout, paraît que Bertrand Cantat porte souvent le survêt labellisé Vieilles Charrues que les organisateurs lui avaient offert, vivement qu'il revienne après avoir purgé sa peine.
9) Pierre Perret, Le zizi, 1999: un sourire, une communion improbable entre le chanteur amoureux des belles lettres et son public plus porté sur les bonnes Leffes, une rencontre drôle et émouvante comme les Vieilles Charrues en ont le secret.
10) Jamie Cullum, I'm singing in the rain, 2005: pendant longtemps, les Vieilles Charrues n'ont connu qu'un grand soleil... mais cette légende a vécu, samedi pluvieux de A à Z en 2005, Jamie Cullum n'en a cure, le jeune jazzman américain improvise un petit singing in the rain de circonstance, les spectateurs remuent sous leurs sacs poubelles.
Une mention spéciale aussi à Ben Harper en 2001: pas pour une chanson en particulier, mais pour un moment magique... Ben Harper revient sur la grande scène avec un Gwen ha du sur le dos, il lève le poing, le public breton exulte, Ben Harper est réellement attaché à la Bretagne depuis son passage aux Trans en 1993 ("La première fois que j'ai joué hors des Etats-Unis, c'est en Bretagne et les gens sont tout de suite rentrés dans le truc, c'était incroyable. C'est vraiment un souvenir qui perdure de façon indélébile dans ma mémoire. Quelque chose de vraiment spécial"). Diam's aussi a adopté la mode Gwen ha du cette année. Pourquoi? Mais parce que "la Bretagne, ça déchire"!
1) Cali, Je m'en vais, 2006: belle chanson, magnifique chanteur, subtil mélange d'énergie et d'émotion, un slam géant de la régie à la grande scène, Cali se tapant le micro contre son coeur en rythme avec la musique. Enorme.
2) M, Gimmick, 2004: une vraie rock-star de son entrée sur scène à sa sortie, un look unique, un décor magistral, et puis cette chanson totalement magique, il fait monter sur scène un anonyme du public pour qu'il nous joue son gimmick, c'est un petit gars tout de rose vêtu qui est l'heureux élu, il se retrouve devant 55000 personnes, il joue un morceau génialissime, M avait dit qu'il interromprait quand il en aurait marre, il n'a pas interrompu.
3) Dyonisos, Song for a jedi, 2006: une intro béton, jusqu'aux fameux accords qui font frétiller le public de bonheur, et le chanteur hyperactif qui se jette lui aussi dans la fosse pour se faire porter en triomphe jusqu'à la régie d'où il déclame quelques vers au porte-voix avant de regagner la scène par le même chemin (le plus court en distance, pas en temps), il arrive exténué mais heureux.
4) Cali, C'est quand le bonheur?, 2004: le rugbyman hypersensible exulte, il n'a probablement jamais vu autant de monde s'exciter sur une de ses chansons, il trouve finalement la réponse à sa question: "Le bonheur, c'est aujourd'hui, ici à Carhaix".
5) Muse, Time is running out, 2004: la terre tremble en mesure avec la basse, une déferlante de riffs et de percussions s'abat sur le public, le temps ne court plus, il s'arrête.
6 ex-aequo) Zebda, Tomber la chemise, 1998, et Joe Cocker, You can leave your hat on, 2000: des chansons festives, une subite envie de se déshabiller, des tee-shirts et même des soutien-gorges qui tournoient dans les airs.
8) Noir Désir, Tostaky, 2001: nuit noire sur Carhaix, même si Bertrand Cantat confond un gros lampadère au loin avec la lune, un groupe culte, une chanson qui dynamite tout, paraît que Bertrand Cantat porte souvent le survêt labellisé Vieilles Charrues que les organisateurs lui avaient offert, vivement qu'il revienne après avoir purgé sa peine.
9) Pierre Perret, Le zizi, 1999: un sourire, une communion improbable entre le chanteur amoureux des belles lettres et son public plus porté sur les bonnes Leffes, une rencontre drôle et émouvante comme les Vieilles Charrues en ont le secret.
10) Jamie Cullum, I'm singing in the rain, 2005: pendant longtemps, les Vieilles Charrues n'ont connu qu'un grand soleil... mais cette légende a vécu, samedi pluvieux de A à Z en 2005, Jamie Cullum n'en a cure, le jeune jazzman américain improvise un petit singing in the rain de circonstance, les spectateurs remuent sous leurs sacs poubelles.
Une mention spéciale aussi à Ben Harper en 2001: pas pour une chanson en particulier, mais pour un moment magique... Ben Harper revient sur la grande scène avec un Gwen ha du sur le dos, il lève le poing, le public breton exulte, Ben Harper est réellement attaché à la Bretagne depuis son passage aux Trans en 1993 ("La première fois que j'ai joué hors des Etats-Unis, c'est en Bretagne et les gens sont tout de suite rentrés dans le truc, c'était incroyable. C'est vraiment un souvenir qui perdure de façon indélébile dans ma mémoire. Quelque chose de vraiment spécial"). Diam's aussi a adopté la mode Gwen ha du cette année. Pourquoi? Mais parce que "la Bretagne, ça déchire"!
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