Raphaël, le nouvel idole des jeunes

- Vous faites peu de conférences de presse. Pourquoi avoir accepté ici ?« Je n'en ai pas fait depuis plus de deux ans. Je n'aime pas trop ça, je ne suis pas très à l'aise. Mais je me suis dit que tant qu'à en faire une, autant que ce soit ici car il y aurait beaucoup de journalistes. »
- Lors du dernier spectacle des Enfoirés, vous repreniez une chanson de Carla Bruni avec quelques stars de la chanson française comme Patrick Bruel. Mais le public n'en avait que pour vous, il criait dès que vous ouvriez la bouche. Vous êtes-vous dit à ce moment-là : « ça y est, c'est bon ! J'ai pris la place de Patrick dans le coeur des Français » ?
« Non, je pense que c'était simplement l'attrait de la nouveauté. Et je n'étais pas encore beaucoup apparu sur scène, contrairement aux autres ! »
- Dans vos chansons Schenghen ou La ballade du pauvre, il y a une forme d'engagement politique. Comptez-vous poursuivre dans cette voie et aller plus loin ?
« Si c'est pour dénoncer la pauvreté, la misère et la souffrance des sans-papiers à travers les textes de mes chanson, pas de problème, vous pouvez compter sur moi. Mais je ne m'engagerai pas dans un parti politique quelconque. De toute façon, je ne suis pas assez à l'aise derrière un micro pour tenir un grand discours politique. »
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