Carhaix, une belle destination pour un voyage de noces !
Quelques Nordistes sont partis en bus jeudi soir de Lille pour rallier Carhaix et son célèbre festival des Vieilles Charrues. Au bout de la nuit, trois jours de concerts. Ambiance…
« C’est la première fois qu’on va aux Vieilles Charrues. On s’est marié le 29 avril… Parmi les cadeaux de mariage, il y avait ces places pour le festival ! » Une idée originale qui a tout de suite séduit Michaël et Amandine Dutkiewicz. Ni une ni deux ! Ce jeune couple de Méricourt, à côté de Lens, va donc convoler vers Carhaix après une lune de miel au Mexique. « On attend impatiemment Placebo et Raphael. On souhaite aussi découvrir des artistes moins connus, comme Olivia Ruiz. »
Dans le bus, ils ont fait la connaissance d’Elsa et Charles Depuydt, deux jeunes Valenciennois. Elsa, la grande sœur, est une habituée des Vieilles Charrues : « On part tous les étés en Bretagne pour les vacances. Je suis allée à Carhaix pour la première fois en 2001. Ensuite, j’avais eu la piqûre et j’essaie d’y retourner chaque année. » Si elle apprécie l’affiche toujours haut de gamme, c’est surtout l’ambiance qui la pousse à revenir : « Il y a une grande proximité avec le public, un partage d’émotions. En 2004, sur le concert de Muse, j’ai rencontré une fille de Valenciennes et on est restées en contact depuis. »
Au rayon des souvenirs, Elsa en a un paquet, des bons et des moins bons : « Le meilleur concert que j’y ai vu, c’est celui de M. Il y avait une telle osmose avec le public. Une année, je me suis trompée de tente et je me suis retrouvée avec un inconnu… mais ce n’est pas allé plus loin ! Une autre fois, je me suis fait vomir dessus ! » Les risques du métier de festivalier…
Son jeune frère Charles, âgé de 15 ans, est un bizut des Vieilles Charrues : « Ma sœur m’en a tellement parlé ! Ma mère a cherché à m’en dissuader, mais ma sœur l’a mis devant le fait accompli en achetant deux places. »
Les Vieilles Charrues quand on habite dans le Nord, c’est un investissement (165 euros la place et le trajet) : « Mais quand on met tous les groupes bout à bout, ça les vaut largement ! » Avec les Pixies, Tracy Chapman ou encore Placebo, il est vrai que cette cure de concerts (trente en trois jours) a de quoi rassasier les mélomanes les plus exigeants. Et il y en a pour tous les goûts, c’est d’ailleurs une marque de fabrique. Ainsi, la rappeuse Diam’s va cotoyer le chanteur de variété Julien Clerc et la néo-pop psychée (sic !) des Hushpuppies.
Le groupe de Nordistes a manqué le concert de Johnny, programmé jeudi soir lors d’une soirée spéciale. Sans regret visiblement ! Charles est impatient de voir Cali aujourd’hui et Dyonisos demain. Charlotte Simonowski et Cécile Dudzinski, deux Lilloises fraîchement bachelières, attendaient aussi beaucoup de Yann Tiersen (programmé hier soir à minuit) et Da Silva, jeune chanteur pétri de talent qui se produira demain. Avant de reprendre la route vers Lille. Douze heures de bus pour redescendre sur terre, se remémorer les meilleurs moments et se donner rendez-vous à l’année prochaine. Des laboureurs sont nés… Le virus des Vieilles Charrues est extrêmement contagieux !
« C’est la première fois qu’on va aux Vieilles Charrues. On s’est marié le 29 avril… Parmi les cadeaux de mariage, il y avait ces places pour le festival ! » Une idée originale qui a tout de suite séduit Michaël et Amandine Dutkiewicz. Ni une ni deux ! Ce jeune couple de Méricourt, à côté de Lens, va donc convoler vers Carhaix après une lune de miel au Mexique. « On attend impatiemment Placebo et Raphael. On souhaite aussi découvrir des artistes moins connus, comme Olivia Ruiz. »
Dans le bus, ils ont fait la connaissance d’Elsa et Charles Depuydt, deux jeunes Valenciennois. Elsa, la grande sœur, est une habituée des Vieilles Charrues : « On part tous les étés en Bretagne pour les vacances. Je suis allée à Carhaix pour la première fois en 2001. Ensuite, j’avais eu la piqûre et j’essaie d’y retourner chaque année. » Si elle apprécie l’affiche toujours haut de gamme, c’est surtout l’ambiance qui la pousse à revenir : « Il y a une grande proximité avec le public, un partage d’émotions. En 2004, sur le concert de Muse, j’ai rencontré une fille de Valenciennes et on est restées en contact depuis. »
Au rayon des souvenirs, Elsa en a un paquet, des bons et des moins bons : « Le meilleur concert que j’y ai vu, c’est celui de M. Il y avait une telle osmose avec le public. Une année, je me suis trompée de tente et je me suis retrouvée avec un inconnu… mais ce n’est pas allé plus loin ! Une autre fois, je me suis fait vomir dessus ! » Les risques du métier de festivalier…
Son jeune frère Charles, âgé de 15 ans, est un bizut des Vieilles Charrues : « Ma sœur m’en a tellement parlé ! Ma mère a cherché à m’en dissuader, mais ma sœur l’a mis devant le fait accompli en achetant deux places. »
Les Vieilles Charrues quand on habite dans le Nord, c’est un investissement (165 euros la place et le trajet) : « Mais quand on met tous les groupes bout à bout, ça les vaut largement ! » Avec les Pixies, Tracy Chapman ou encore Placebo, il est vrai que cette cure de concerts (trente en trois jours) a de quoi rassasier les mélomanes les plus exigeants. Et il y en a pour tous les goûts, c’est d’ailleurs une marque de fabrique. Ainsi, la rappeuse Diam’s va cotoyer le chanteur de variété Julien Clerc et la néo-pop psychée (sic !) des Hushpuppies.
Le groupe de Nordistes a manqué le concert de Johnny, programmé jeudi soir lors d’une soirée spéciale. Sans regret visiblement ! Charles est impatient de voir Cali aujourd’hui et Dyonisos demain. Charlotte Simonowski et Cécile Dudzinski, deux Lilloises fraîchement bachelières, attendaient aussi beaucoup de Yann Tiersen (programmé hier soir à minuit) et Da Silva, jeune chanteur pétri de talent qui se produira demain. Avant de reprendre la route vers Lille. Douze heures de bus pour redescendre sur terre, se remémorer les meilleurs moments et se donner rendez-vous à l’année prochaine. Des laboureurs sont nés… Le virus des Vieilles Charrues est extrêmement contagieux !
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