Le premier jour du reste de ma vie
C'est mon dernier jour à l'ESJ, l'Ecole supérieure de journalisme de Lille. Et le premier jour du reste de ma vie (pour reprendre une chanson d'Etienne Daho). Après deux ans passés à apprendre mon métier, je vais quitter cette école sans trop de regrets. Je ne verserai même pas de petite larme. Bien sûr, ça m'embête de quitter mes camarades de promo avec qui j'ai passé beaucoup de belles soirées, mais je vais pouvoir rester en contact avec eux et les revoir de temps à autre. Bien sûr, je vais perdre les avantages afférents à la carte d'étudiant, mais je devrais bientôt recevoir ma carte de journaliste. Quant aux permanents, il y a eu des hauts et des bas, mais je ne garderai globalement pas un souvenir impérissable d'eux (hormis Jérôme et Sandrine de la Bibdoc et Claire, la secrétaire du directeur d'études, qui sont vraiment des gens extraordinaires). Et puis, c'est bien beau d'apprendre un métier, mais c'est pour l'exercer et pour en vivre.
Je suis content de mon dernier travail d'étudiant. Je vous laisse juger du résultat (voir post ci-dessous), mais j'ai en tout cas pris beaucoup de plaisir à le réaliser et à l'écrire. Nous devions faire un documentaire d'environ 14000 signes, sur un thème autour du corps. Notre formateur, très sympa, était Emmanuel Poncet, un journaliste du service culture de Libé. Il a en ce moment un procès au cul intenté par le ministre de la Justice, à la suite d'une tribune où il comparait la défense adoptée par le juge Burgaud au nazi Eichmann lors de son procès. Il prenait pourtant soin de dire que les actions des deux hommes n'avaient rien à voir, mais ces précautions n'ont pas suffi à Pascal Clément. La liberté de la presse a visiblement ses limites. C'était pourtant dans la rubrique Rebonds de Libé, destinée à susciter des débats. Il a réussi son coup. Un peu trop sans doute. Bonne chance pour le procès!
Je suis content de mon dernier travail d'étudiant. Je vous laisse juger du résultat (voir post ci-dessous), mais j'ai en tout cas pris beaucoup de plaisir à le réaliser et à l'écrire. Nous devions faire un documentaire d'environ 14000 signes, sur un thème autour du corps. Notre formateur, très sympa, était Emmanuel Poncet, un journaliste du service culture de Libé. Il a en ce moment un procès au cul intenté par le ministre de la Justice, à la suite d'une tribune où il comparait la défense adoptée par le juge Burgaud au nazi Eichmann lors de son procès. Il prenait pourtant soin de dire que les actions des deux hommes n'avaient rien à voir, mais ces précautions n'ont pas suffi à Pascal Clément. La liberté de la presse a visiblement ses limites. C'était pourtant dans la rubrique Rebonds de Libé, destinée à susciter des débats. Il a réussi son coup. Un peu trop sans doute. Bonne chance pour le procès!
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