Ours. L'ombre du père, l'amour de la mer
Si son père est Alain Souchon, Ours fait tout pour ne pas être un fils de. Samedi soir dernier, il était de passage aux Arcs de Quéven pour faire la première partie de Da Silva. Tout près de sa terre d'adoption où il aime passer ses vacances. Rencontre avec une étoile montante de la chanson française.
Pendant votre concert, vous avez parlé de vos attaches avec le pays d'Auray. À quand remontent-elles?
Je suis né en avril 1978 et j'étais en juin en Bretagne! Chaque été, on louait une maison et on venait en famille, à Carnac, Erdeven ou Quiberon. Puis, on en a acheté une à La Trinité. On y passait les grandes vacances, mais on y venait aussi à Noël et à Pâques.
Comment vous occupiez-vous?
Petit, j'allais à la plage, je faisais du bateau et du sport. Ado, je me suis beaucoup amusé : c'était les sorties, la fête, l'insouciance, les filles.
Et maintenant, aimez-vous toujours y revenir?
Oui, j'aime surtout le paysage brut, la côte sauvage. On s'y sent le roi du monde. Je ne suis pas un poète et ça fait un peu « cliché » de dire ça, mais j'aime bien me mettre sur un rocher devant l'océan avec ma guitare. C'est propice à l'imagination, à la rêverie et à l'écriture.
Est-ce là que vous avez noué l'amitié qui vous lie avec Nicolas Voulzy qui joue désormais avec vous?
Non, nous sommes des amis d'enfance, mais lui n'aime pas l'eau froide. En dessous de 25º, il ne trempe pas ses orteils! Il préfère la mer des Antilles.
Dans votre biographie sur votre site internet, pourquoi n'est-il pas indiqué que vous êtes le fils d'Alain Souchon?
J'aimerais me préserver de ça. Très vite, quand j'ai démarré dans la musique, ma démarche a été de ne pas le dire. J'ai envoyé une maquette à la maison de disque sans le préciser. C'est peut-être un caprice, mais ça a été une satisfaction qu'ils me produisent sans le savoir. Ça a duré un mois, puis ça s'est su. Mais j'ai envie qu'on écoute mon album sans cette information qui interfère sur l'écoute.
Comment marche votre premier album, Mi?
Je suis très content d'avoir exaucé ce rêve et du chemin parcouru. On doit être à 30000 albums vendus. La tournée se passe bien, j'y prends beaucoup de plaisir, surtout avec la formule à quatre sur scène. On a aussi une formule à deux, comme à Quéven: ça dépend de l'argent que l'on nous donne.
Que peut-on vous souhaiter pour 2008?
Simplement que les concerts grossissent pour pouvoir faire une grosse mise en scène et un vrai spectacle.
Pendant votre concert, vous avez parlé de vos attaches avec le pays d'Auray. À quand remontent-elles?
Je suis né en avril 1978 et j'étais en juin en Bretagne! Chaque été, on louait une maison et on venait en famille, à Carnac, Erdeven ou Quiberon. Puis, on en a acheté une à La Trinité. On y passait les grandes vacances, mais on y venait aussi à Noël et à Pâques.
Comment vous occupiez-vous?
Petit, j'allais à la plage, je faisais du bateau et du sport. Ado, je me suis beaucoup amusé : c'était les sorties, la fête, l'insouciance, les filles.
Et maintenant, aimez-vous toujours y revenir?
Oui, j'aime surtout le paysage brut, la côte sauvage. On s'y sent le roi du monde. Je ne suis pas un poète et ça fait un peu « cliché » de dire ça, mais j'aime bien me mettre sur un rocher devant l'océan avec ma guitare. C'est propice à l'imagination, à la rêverie et à l'écriture.
Est-ce là que vous avez noué l'amitié qui vous lie avec Nicolas Voulzy qui joue désormais avec vous?
Non, nous sommes des amis d'enfance, mais lui n'aime pas l'eau froide. En dessous de 25º, il ne trempe pas ses orteils! Il préfère la mer des Antilles.
Dans votre biographie sur votre site internet, pourquoi n'est-il pas indiqué que vous êtes le fils d'Alain Souchon?
J'aimerais me préserver de ça. Très vite, quand j'ai démarré dans la musique, ma démarche a été de ne pas le dire. J'ai envoyé une maquette à la maison de disque sans le préciser. C'est peut-être un caprice, mais ça a été une satisfaction qu'ils me produisent sans le savoir. Ça a duré un mois, puis ça s'est su. Mais j'ai envie qu'on écoute mon album sans cette information qui interfère sur l'écoute.
Comment marche votre premier album, Mi?
Je suis très content d'avoir exaucé ce rêve et du chemin parcouru. On doit être à 30000 albums vendus. La tournée se passe bien, j'y prends beaucoup de plaisir, surtout avec la formule à quatre sur scène. On a aussi une formule à deux, comme à Quéven: ça dépend de l'argent que l'on nous donne.
Que peut-on vous souhaiter pour 2008?
Simplement que les concerts grossissent pour pouvoir faire une grosse mise en scène et un vrai spectacle.
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