Trop beau, Tryo
Ce fut le premier grand mouvement de foule de cette 17e édition (et l'avant-dernière, puisque seul Yannick Noah a recueilli un tel engouement). La première ferveur populaire rassemblant près de 50000 Charrueurs heureux de labourer la boue de Kerampuil. Tryo n'était pas venu chanter son hymne de nos campagnes dans les champs carhaisiens depuis un long moment. Trop long. Leur retour en force a été fabuleux en tous points.
Ils ont attaqué par G8, une chanson que Nicolas Sarkozy ferait bien d'écouter chaque matin au réveil. Ils ont poursuivi avec Sorlez-les, la chanson dans laquelle ils dénoncent la télé poubelle. Pas inutile au moment où Secret Story et L'île de le tentation prospèrent sur TF1 et polluent nos cerveaux disponibles. Ils ont transporté le public conquis dans de plus hautes sphères avec Dans les nuages. Nous voilà au septième ciel!
Leur set a aussi été marqué par un boeuf avec l'Indiana Jones de la chanson française, Bernard Lavilliers. Pour ceux qui ne connaissent pas grand-chose de ce chanteur-aventurier (à moins que ce ne soit l'inverse), je vous recommande les truculentes paroles de la chanson des Fatals Picards qui lui est consacrée. Le baroudeur interprète Etat des lieux avec ses amis de Tryo. Et certains de réclamer "une autre, une autre". Euh, c'est vrai que c'était sympa, mais à choisir, je préfère quand même les chansons de Tryo, alors ce sera pour une autre fois. Tryo reprend les commandes.
Quand ils font Désolé pour hier soir, c'est presque autobiographique et ça m'amuse. Ils gardent l'hymne de nos campagnes pour le rappel. Le public communie. C'est beau, une campagne qui chante.
Ils ont attaqué par G8, une chanson que Nicolas Sarkozy ferait bien d'écouter chaque matin au réveil. Ils ont poursuivi avec Sorlez-les, la chanson dans laquelle ils dénoncent la télé poubelle. Pas inutile au moment où Secret Story et L'île de le tentation prospèrent sur TF1 et polluent nos cerveaux disponibles. Ils ont transporté le public conquis dans de plus hautes sphères avec Dans les nuages. Nous voilà au septième ciel!
Leur set a aussi été marqué par un boeuf avec l'Indiana Jones de la chanson française, Bernard Lavilliers. Pour ceux qui ne connaissent pas grand-chose de ce chanteur-aventurier (à moins que ce ne soit l'inverse), je vous recommande les truculentes paroles de la chanson des Fatals Picards qui lui est consacrée. Le baroudeur interprète Etat des lieux avec ses amis de Tryo. Et certains de réclamer "une autre, une autre". Euh, c'est vrai que c'était sympa, mais à choisir, je préfère quand même les chansons de Tryo, alors ce sera pour une autre fois. Tryo reprend les commandes.
Quand ils font Désolé pour hier soir, c'est presque autobiographique et ça m'amuse. Ils gardent l'hymne de nos campagnes pour le rappel. Le public communie. C'est beau, une campagne qui chante.
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