Le meilleur public de France
Cela peut sembler péremptoire ou chauvin de prétendre ça. Mais j'ai été aux Eurockéennes, à Rock en Seine et à d'autres festivals dans le Nord, et ça n'a rien, mais alors rien à voir avec les Vieilles Charrues. Même à Bobital, les gens sont sympas, mais c'est un ton en-dessous de Carhaix côté ambiance. Nous méritions donc un hommage photographique à la hauteur de notre talent...
Anne-Virg, festivalière émérite qui a réussi son pari de l'été (collectionner au moins quatre bracelets d'entrée), et moi. Pour être à la mode cette année aux Vieilles Charrues, il fallait un poncho et des lunettes de soleil, le temps changeant approximativement toutes les 2min30.
Pour le poncho, préférez le rouge Télégramme au rose Ouest-France qui manque singulièrement de cachet.
Alors, heureux?
Devant Ayo, premier temps-fort de vendredi, le public est sous le charme.
Dans la gadoue, la gadoue, la gadoue...
Même devant Adamo, ça bouge presque plus que devant Muse dans d'autres endroits de France!
Et si l'alcoolisme légendaire des Bretons était lié au climat? Pour se protéger de la pluie, ce festivalier a dû descendre un pack...
Un bon moyen pour mieux voir la scène quand on n'a pas la chance de mesurer 1m92!
Dans la série "festivaliers déguisés, Obélix. S'il a dû peiner à trouver du sanglier sur le site, la cervoise ne manquait pas.
Le petit chaperon rose s'est visiblement jeté dans la gueule des loups aux buvettes.
Devant Toumast, le spectacle n'est pas que sur scène.
Fin de festival, l'heure de penser à ramener un souvenir. Pour le commun des Charrueurs, ce sera un tee-shirt officiel ou le bob Le Télégramme. Pour les plus veinards, ce sera la baguette d'un batteur ou un autographe. Pour lui, ce sera le panneau des chiottes pour les femmes.
Lundi, démontage de tentes au camping. Mes voisins assurent l'animation.
Anne-Virg, festivalière émérite qui a réussi son pari de l'été (collectionner au moins quatre bracelets d'entrée), et moi. Pour être à la mode cette année aux Vieilles Charrues, il fallait un poncho et des lunettes de soleil, le temps changeant approximativement toutes les 2min30.
Pour le poncho, préférez le rouge Télégramme au rose Ouest-France qui manque singulièrement de cachet.
Alors, heureux?
Devant Ayo, premier temps-fort de vendredi, le public est sous le charme.
Dans la gadoue, la gadoue, la gadoue...
Même devant Adamo, ça bouge presque plus que devant Muse dans d'autres endroits de France!
Et si l'alcoolisme légendaire des Bretons était lié au climat? Pour se protéger de la pluie, ce festivalier a dû descendre un pack...
Un bon moyen pour mieux voir la scène quand on n'a pas la chance de mesurer 1m92!
Dans la série "festivaliers déguisés, Obélix. S'il a dû peiner à trouver du sanglier sur le site, la cervoise ne manquait pas.
Le petit chaperon rose s'est visiblement jeté dans la gueule des loups aux buvettes.
Devant Toumast, le spectacle n'est pas que sur scène.
Fin de festival, l'heure de penser à ramener un souvenir. Pour le commun des Charrueurs, ce sera un tee-shirt officiel ou le bob Le Télégramme. Pour les plus veinards, ce sera la baguette d'un batteur ou un autographe. Pour lui, ce sera le panneau des chiottes pour les femmes.
Lundi, démontage de tentes au camping. Mes voisins assurent l'animation.
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