Kispasse

Tuesday, October 04, 2005

I'm back !

"I'm back !" Je n'aurai pas la prétention de placer mes baskets dans les empreintes de Michael Jordan, le toréador des Bulls, pour signer mon retour sur ces pages, mais qu'il me soit permis de reprendre ses mots. Et de saisir la balle au rebond pour féliciter les Bleus qui sont revenus de l'Eurobasket yougoslave avec une belle médaille de bronze. Trop de la balle ! Leur éclatante victoire finale face à l'Espagne permet de mieux avaler la pilule amère de la demi-finale. Alors qu'ils menaient de sept moins à une minute de la fin, la bande à Rigaudeau (le roi) et Tipi (le prince) s'est faite avoir comme des Bleus (merci l'Equipe).

Après Jordan, Jordy ! L'ex-fermier qui aurait dû se la fermer avait vu juste : "Dur dur d'être BB" surtout quand le grand méchant Marco vous cherche des poux. Mais avec ses accointances louches avec Le Pen (un Breton qui n'est pas prophète en son pays), Brigitte Bardot lui donne des bâtons pour se faire taper dessus.
BB, elle aussi, ouvre souvent sa gueule à tort et à travers. La dernière fois pourtant, elle a eu la bonne idée de demander la démission de Nelly Olin, la ministre de l'Ecologie, "en raison de sa dangereuse incompétence". Nelly s'est fait remarquer par quelques concessions mal senties envers les bergers qui ont les crocs contre les loups. Après Bachelot, Chirac a dégoté une nouvelle reine de la bavure pour veiller au devenir de notre planète qui brûle. Autant dire qu'on est mal barré. Dommage que Serge Lepeltier n'ait pas résisté au changement de gouvernement, c'était pour le coup quelqu'un qui semblait mieux maîtriser ses dossiers et avancer dans une meilleure direction.
Cette fois-ci, on voit mal un super-héros américain sauver le monde. Ne comptez pas sur Bush en tout cas. Entre économie et écologie, W n'hésite jamais longtemps. Katrina et Rita risquent d'avoir beaucoup de petites soeurs, au grand dam d'Oncle Sam.
Je voudrais terminer ce message marquant mon retour à l'ESJ en distribuant un bon point et un mauvais point Guenneugueskispasse.
Le bon point pour Gérald Dahan, l'humoriste qui sévit sur Rire & Chanson. Rappelez-vous, c'est lui qui a piégé Zidane en imitant Chirac et en lui demandant de mettre la main sur le coeur pendant l'hymne national précédant Irlande-France. Vivement le match contre la Suisse samedi pour que voir ce qu'ils vont faire !

Le mauvais point ira au militant qui a voulu faire un shampoing aux oeufs à Laurent Fabius à la Fête de l'Huma. Non seulement c'est inutile étant donné son cuir chevelu peu développé, mais en plus ce n'est pas cela qui va aider à un grand rassemblement de la gauche en 2007. Et puis, c'est quand même dommage que ce soit le seul truc que les médias ont retenu de cette Fête de l'Huma... Et le concert des Blaireaux alors ???

Ce n'est pas pour faire de la promo, mais il y a dans ce groupe un ancien de l'ESJ. Ce qui ne fait que confirmer la citation de Jules Janin : le journalisme mène à tout à condition d'en sortir. En attendant, on aimerait surtout y rentrer, nous !

6 Comments:

  • At 11:31 AM, Anonymous Anonymous said…

    "En attendant, on aimerait surtout y rentrer, nous !"

    Et c'est comme ça que vous comptez y arriver, M. La Guennueg' ?

     
  • At 11:50 PM, Blogger DLL said…

    Faut le comprendre, il revient d'un stage au télégramme...

     
  • At 10:37 AM, Anonymous Anonymous said…

    Oh, ça je ne le sais que trop bien, j'ai dû le supporter pendant deux longs, très long mois...
    ps : il a fait un stage au Télégramme, mais en théorie seulement. Dans la pratique, c'était plutôt "Bonjour paresse"... ;-)

     
  • At 3:21 AM, Anonymous Anonymous said…

    C'est vrai que Plou (La Guenneug...) préfère souvent la paresse à la presse...

     
  • At 11:01 AM, Anonymous Anonymous said…

    L'écologie d'accord, mais l'essaimage, on en parle jamais de l'essaimage, ni des astéroïdes d'ailleurs...

    PS : ce post est entièrement dédié à Armel et Roz ;-p

     
  • At 9:52 AM, Anonymous Anonymous said…

    "I'm back"... Post un nouveau message "I'm gone", pour expliquer ton retour manqué car suivi d'un silence qui dure encore. Ah la la, j'te jue La Guenneug'... Arrête de faire la fête et reprend toi, nom d'une pipe en bois !

     

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