Viva Espana!
Non, ce n'est pas parce qu'ils sont champions du monde de basket et champions d'Europe de foot. Non, ce n'est pas non plus parce que leur dirigeant actuel, Zapatero, est incommensurablement meilleur que notre nabot de président. Non, ce n'est pas pour sécher ni la sortie de l'album de Carla Bruni et le battage médiatique qui l'a entouré, ni le défilé du 14 juillet, ni le Tour de France des dopés. Si je suis allé en Espagne une semaine, du 10 au 16 juillet, c'est pour le mariage de mon pote Dudule, connu sur les bancs de l'IEP de Rennes. Six jours de balades diurnes et de fiestas nocturnes. Ca faisait une paye que je n'avais pas eu de vacances estivales (OK, les vacances festivals, ce n'est pas mal non plus), alors j'en ai profité à fond, à fond, à fond. Retour en images sur une semaine riche en émotions, en découvertes et en joies.
Snif! Mon voyage commence par 2 heures en avion. Mon empreinte écologique va en prendre un coup
Je n'étais monté qu'une seule fois dans un avion auparavant et c'était pour sauter en parachute. Ainsi, j'avais déjà décollé, mais jamais atterri
C'est la compagnie low-coast qui m'a conduit en Espagne. Le plus, c'est qu'au moins, ils rentabilisent un maximum le kérozène brûlé puisqu'on est serré comme des sardines. Le moins, c'est que ces compagnies, avec leurs tarifs extrêmement bas, sont responsables de la démocratisation de l'avion et donc de la dégradation de la planète
A bord, j'ai lu le dernier numéro de La Décroissance pour alléger ma conscience
Le pire, c'est que j'ai bien aimé voyager en avion
J'ai aussi profité de mon voyage pour écrire une carte aux heureux futurs mariés de dans deux jours
Terre en vue!
Parti de Charleroi à côté de Bruxelles, j'ai atterri à Valladolid près de Madrid. J'avais voyagé en costume de mariage pour ne pas le froisser. Inutile de préciser qu'à l'arrivée, j'avais chaud
Bienvenue en Castille et Leon! Ca change de "bienvenue chez les Ch'tis"
De sympathiques Belges qui avaient voyagé avec moi m'ont expliqué qu'un car Alsa (l'équivalent espagnol d'Eurolines) pouvait directement me conduire à Leon. Eux allaient plus dans le Nord, dans les Asturies
J'étais sur la route de la terre des champs toute la sainte journée
Deux rivières coulent à Leon: Bernesga et Torío
Un playground à Leon: trop de la balle!
Leon fait la part belle aux espaces verts
Suivez le guide
(A lire sur l'air de Goldman) Je marche seul (padada-dadada)... dans les rues de Leon (padada-dadada)
Il a beau être environ 19h, le mercure frôle encore les 30°
La belle Leon dévoile ses atours aux touristes de passage (légende piquée au Guide du petit routard fûté)
L'architecture de style victorien assure la renommée touristique de la cité espagnole (on appelle ça du remplissage)
Ah ça c'est rigolo: aux passages piétons, l'on peut voir combien de temps il reste avant que le feu passe au vert. Comment ça, vous n'êtes pas bidonné?
Buvez du Breizh Cola, c'est meilleur, et faites attention: la police veille au grain
A gauche, ce joli bâtiment est l'oeuvre de Gaudi (architecte catalan à qui l'on doit notamment la Sagrada Familia), il abrite maintenant une banque. A droite, c'est la deputation, l'équivalent du Conseil général en France
Une jolie placette
L'artère piétonne centrale qui conduit à la cathédrale
La superbe cathédrale de Leon
En face de la cathédrale, il y a aussi de jolies demeures
Les flèches semblent vouloir crever le ciel comme celles d'Appolon crèvent le coeur des amoureux (une note de poésie dans un monde de brutes)
Leon, ville fortifiée
Les remparts rampent autour du coeur historique
Quelques portes permettent de s'enfoncer dans les ruelles pittoresques
La statue en haut de la porte, immortalisée grâce à mon nouvel appareil et son zoom optique 18x (payé 185 euros sur cdiscount)
Dudulos et Dudula au pénultième jour avant leur union, version yeux fermés d'Elba (un grand classique)
Et maintenant, la même, version yeux ouverts (plus rare)
Autour de la cathédrale
La cathédrale vue de derrière (eh oui, désolé, j'aurais bien fait la cathédrale vue du ciel, mais tout le monde n'a pas les moyens de Yann Arthus-Bertrand, et puis l'avion, ça pollue)
Autoportrait sans oreille cassée
Mûre pour l'échaffaudage
Depuis combien de temps regardent-ils la cathédrale?
Un néléphant qui trompe énormément de touristes
Avec mon pote Gaudi, pas très causant, cela dit
Il est bon, mon pote Gaudi, hein!
Tout est une question de perspective
Une petite chapelle toute jaune (au cas où vous ne l'auriez pas remarqué)
Quand Leon se prend pour Bruxelles (1): le Manneken Pis revisité
Quand Leon se prend pour Bruxelles (2): l'Atomium revisité
De l'art et du cochon
El Corte Inglés (recto), une bonne adresse, l'équivalent de Printemps en France, mais en mieux et moins cher
El Corte Inglés (verso)
Un haut-lieu de la barbarie humaine, autrement dit l'arène de Leon
Leon, cité tropicale aux palmiers luxuriants
Vous êtes nazi? N'allez pas à Leon (et quittez ce blog... ici aussi, vous êtes malvenu)
Un Jacky espagnol fier de poser devant sa voiture tuning
La fontaine est reine à Leon et ce n'est pas une fable
Au détour des ruelles escarpées du vieux Leon se découvrent d'antiques enseignes aguichantes (encore une légende piquée au Guide du petit routard fûté)
Légende A: une jolie placette qui ne manque pas de cachet. Légende B: la multinationale Carrefour va en conquistador en Espagne
C'est-y pas joli, tout ça
Les fannions sont de sortie, peut-être un vestige du titre de champion d'Europe de foot vaillamment conquis par les Espagnols en juin
Officiellement, c'est la plaza Major, un peu l'équivalent de nos grands-places nordistes. Mais comme j'avais mal compris, je l'ai rebaptisée Plaza Majorqua, ça fait plus rêver
Les arcades du pouvoir
Leon a connu trois hôtels de ville au cours de son histoire. Ici, donnant sur la Plaza Major, c'est l'un des deux anciens
Leon, ville d'artistes, et ça transpire même sur ses murs
Ces graffs me font trop penser à Ben Harper, je ne sais pas pourquoi
Visiblement, un poète français aussi est passé par là
100 mètres en contrebas de la Plaza Major, c'est un tout autre visage de Leon qui se découvre
La cité fantôme en pleine reconstruction
Mon graff préféré: "Oui aux taureaux! Non aux toreros!"
Et encore une tite place mimi tout plein
Une enseigne qui donne envie d'aller voir à l'intérieur
Pendant ce temps-là, ces deux-là n'ont pas bougé d'un iota
Une petite statue de la grande cathédrale
Et le cadran solaire pour donner l'heure
Dickens Tavern, non non on n'a pas quitté Leon pour London...
... mais avouez qu'ils ont de beaux arguments pour attirer le touriste de passage
Encore une jolie enseigne
Retouvailles sur le parvis
Nos guides du jour sont deux jeunes célibataires du nom d'Alexandre et Elba
La cathédrale de l'intérieur
Les pieds des futurs mariés (photo assez conceptuelle)
Les trois frères, LG corp
A Leon, on est d'abord fier d'être de Leon. La preuve à l'office de tourisme: sur ce poster était inscrit "Castilla y Leon", la région administrative. Quelqu'un a barré Castilla pour qu'il n'y ait plus que Leon.
Certains revendiquent même l'indépendance de Leon
Les édifices religieux ne manquent pas à Leon
Leon, passage obligé pour les marcheurs qui font le pélerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Alors, des empreintes sont disséminées aux quatre coins de la ville
L'entrée du Toro que je trouvais sympa. Je ne suis pas allé voir à l'intérieur si la déco était aussi kitsch
She's a barbie girl, in a barbie world (à lire sur l'aire de la cultissime chanson d'Aqua)
A la cathédrale de Leon, les mariages se suivent et ne se ressemblent pas
Amor amor, quand tu nous tiens
Le plus beau jour de leur vie restera immortalisé sur ce blog
C'est vrai que la cathédrale est un cadre idyllique pour se dire oui
Dani, un jeune Espagnol aux airs de fils caché de Manu Chao
Scène courante en Espagne: un pépé prend le soleil, assis sur un banc public
Le samedi à Leon, c'est jour de marché sur la Plaza Major
Ca vaut pas Wazemmes, mais c'est quand même sympa
L'occasion de rappeler que, selon les écolos responsables, il faut acheter bio, de saison et local, afin d'éviter les émissions de gaz à effet de serre liées au transport de marchandises
Dans les bars, je me suis mis à lire El Pais, l'équivalent du Monde, mais en mieux... Et miracle! Même si je n'ai jamais fait d'espagnol, je comprenais plutôt bien... Mais pourquoi j'ai fait huit ans d'allemand, moi? Je ne comprendrai rien à Die Deutsche Zeitung, je ne suis pas prêt d'aller passer mes vacances en Allemagne et, surtout, je n'aime pas Tokyo Hotel!
Il flotte un parfum d'amor dans l'air... Dans quelques instants, Dudule et Elba vont se marier (voir post par ailleurs)
Chacun cherche son mariage... A côté de la cathédrale, les costards sont de sortie
Marcin et Pauline font leurs touristes
Une tite puce en tenue de noce
La grande classe (tu l'as achetée où, ta cravate?)
Et deux mariés de plus, deux!
Papa Pascal et princesse Margaux
Début de la série "en verre et contre tout" (je vais essayer d'en faire une expo visible à Beaubourg): Karine choisit son menu
Les jeunes mariés n'ont pas perdu le sourire...
Troisième volet de notre série avec Dudule Junior...
Là, c'est moi pris par Margaux, 3 ans. Chapeau l'artiste!
Elba veut nous dire quelque chose
Après les pieds, les mains des néo-mariés
Franco n'a pas laissé beaucoup de regrets (sur d'autres graffs, des Montebourg espagnols demandent aussi une nouvelle République)
La Plaza Major by night
La cathédrale by night
Nous by night
Le lendemain matin, en route pour la grotte de Valpéquéro!
Une route tracée à travers la montagne qui offre aux touristes de passage des vues imprenables (oui, j'ai obtenu ma thèse du lyrisme en légende bidon avec mention honorable)
La montagne me gagne
Le soleil m'illumine
Les vaches m'émeuvent
Elles font meuh meuh (merci à Marcel et son orchestre qui m'a largement inspiré dans l'écriture de cette légende)
Elles broutent paisiblement
Il ne manque plus que les présidents américains sculptés dans la roche
Une mini-cascade pour un maxi-panorama
Ce sont Karine, Pascal et leur bout de chou Margaux qui m'ont amené visiter cette grotte
En route pour la cueva!
Attention, baisse de la température imminente!
Dans la grotte, on se croirait dans les 12 travaux d'Astérix
Les plafonds seraient-ils à refaire? Ils ont tendance à tomber en lambeaux
Un superbe décor 100% naturel
Pas de peinture rupestre ici
Les stalagtites (avec un t comme "tombent" contrairement aux stalagmites qui ont le m de "montent"... c'était la leçon du jour pour Margaux, 3 ans, fidèle lectrice de ce blog)
Même ici, il y a quand même quelques empreintes bien humaines, à commencer par les spots et le téléphone d'urgence, au cas où la grotte soit inondée
Le spectacle est grandiose
Karine, Margaux et quelques enfants de la colo qui a fait la visite guidée avec nous
A voir sans modération
Retour dehors, au chaud
Margaux a trouvé des jeux plutôt sympas
Elle a un complice pour la pousser dans cette entreprise
Il n'y va pas de main morte
El Pescador, une petite brasserie peu chère et bien sympa où on a trouvé refuge pour reprendre des forces
Sur la route du retour, on a encore droit à quelques paysages majestueux
Que la montagne est belle...
Au milieu coule une roivière...
On se sent petit, voire riquiqui
Ombre portée du ciel sur Terre
Retour à Leon où le mercure frôle les 30°. Mamma mia! Il fait trop chaud pour un Breton
A Astorga, le lion n'est pas mort ce soir
Astorga, jolie petite ville près de Leon, se trouve aussi sur les chemins de Compostelle
De la belle pierre, du bel ouvrage, de belles terrasses pour siroter un bon p'tit coup... Que demande le touriste?
Non non, on n'est pas à Eurodisney, c'est la vraie vie. Astorga, la ville, la vraie
Les Chrétiens ont vu grand ici
La cathédrale d'Astorga, vue d'en dessous
L'intérieur n'est pas mal non plus... Petit coup de gueule: faut payer pour entrer dedans
Saint Laurent, priez pour nous. Pour la petite histoire, on l'a roti comme un cochon... Et quand il a été cuit d'un côté, il a dit à ses bourreaux: "C'est bon, maintenant, vous pouvez cuire l'autre côté"
Un beau retable au fond de la cathédrale
Il n'y a pas que Julien qui est Doré (copyright LG Corp 2008)
Jésus-Christ est un hippie, chantait Johnny. La preuve à Astorga
En Espagne, on peut souvent se désaltérer avec de l'eau potable sur de petites fontaines publiques. Pas forcément très écologique, mais quand même sympathique
Le château-fort de la belle au Bois-Dormant serait-il à Astorga?
La fine équipée d'Astorga
Tout un symbole: le majestueux lion espagnol écrase le petit aigle qui représente Napoléon
Au museo del Jamon, sans doute un haut-lieu de la gastronomie à Astorga
Séquence nostalgie pour les nouveaux mariés...
... et séquence rêve de midinette pour la future mariée?
Le lendemain matin, en route pour les Asturies
On se croirait en Suisse...
... ou à San Francisco
Nous voilà à Gijon (prononcez Riron, en roulant vos "r" si vous y arrivez)
Soleil, mer et sable fin au programme
C'est vraiment le pied
Pas évident de trouver un coin de sable pour poser sa serviette
Elva joue à l'épouvantail, ou bien au pare-soleil?
Le pied, qu'on vous disait
J'ai essayé de montrer à de jeunes Espagnols qui tapaient dans la balle que les Français aussi, malgré leur grand âge, avaient de beaux restes... Photo d'équipe
Une ola pour dire au revoir à la plage
Gijon n'a pas qu'une belle plage...
Elle a aussi des constructions sympas
Voire renversantes, suivant l'angle de prise de vue choisi
Alors lui, c'est quelqu'un d'important... Si je me souviens bien ce qu'a dit Monica, une amie d'Elba qui a été notre guide improvisée, il a niqué Napoléon... ou quelque chose comme ça!
Comme toute station balnéaire qui se respecte, Gijon a son port de plaisance pour riches potentats locaux
Laura essaie de servir le cidre à la mode asturienne (notez aussi le tee-shirt pro-européen de Dudule
Gijon by night
L'heure du départ approche... Petite photo de ma chambre d'hôtel où j'ai dormi pendant une semaine, avant que je ne la quitte...
Et la salle de bain qui va avec!
La place du village où a grandi Elva
Ce village se trouve aussi sur les chemins de Saint-Jacques, comme l'indiquait ce panneau avant qu'il ne soit sauvagement tagué par quelque Espagnol éconduit (je m'abstiendrai de la traduction!)
La mère d'Elva a mis les petits plats dans les grands pour mon dernier déjeuner espagnol.
Une paëlla royale... Miam miam!
Et le bon petit vin qui l'accompagne
Première et dernière coupure publicitaire de ce message
Snif! C'est déjà l'heure de partir
Oh oh oh oh... En apesanteur!
Coucher de soleil aérien
Retour à Charleroi, il fait nuit noire dans mon coeur. Adios Espana! Mais non, ce n'est qu'un au revoir, mes frères...
Snif! Mon voyage commence par 2 heures en avion. Mon empreinte écologique va en prendre un coup
Je n'étais monté qu'une seule fois dans un avion auparavant et c'était pour sauter en parachute. Ainsi, j'avais déjà décollé, mais jamais atterri
C'est la compagnie low-coast qui m'a conduit en Espagne. Le plus, c'est qu'au moins, ils rentabilisent un maximum le kérozène brûlé puisqu'on est serré comme des sardines. Le moins, c'est que ces compagnies, avec leurs tarifs extrêmement bas, sont responsables de la démocratisation de l'avion et donc de la dégradation de la planète
A bord, j'ai lu le dernier numéro de La Décroissance pour alléger ma conscience
Le pire, c'est que j'ai bien aimé voyager en avion
J'ai aussi profité de mon voyage pour écrire une carte aux heureux futurs mariés de dans deux jours
Terre en vue!
Parti de Charleroi à côté de Bruxelles, j'ai atterri à Valladolid près de Madrid. J'avais voyagé en costume de mariage pour ne pas le froisser. Inutile de préciser qu'à l'arrivée, j'avais chaud
Bienvenue en Castille et Leon! Ca change de "bienvenue chez les Ch'tis"
De sympathiques Belges qui avaient voyagé avec moi m'ont expliqué qu'un car Alsa (l'équivalent espagnol d'Eurolines) pouvait directement me conduire à Leon. Eux allaient plus dans le Nord, dans les Asturies
J'étais sur la route de la terre des champs toute la sainte journée
Deux rivières coulent à Leon: Bernesga et Torío
Un playground à Leon: trop de la balle!
Leon fait la part belle aux espaces verts
Suivez le guide
(A lire sur l'air de Goldman) Je marche seul (padada-dadada)... dans les rues de Leon (padada-dadada)
Il a beau être environ 19h, le mercure frôle encore les 30°
La belle Leon dévoile ses atours aux touristes de passage (légende piquée au Guide du petit routard fûté)
L'architecture de style victorien assure la renommée touristique de la cité espagnole (on appelle ça du remplissage)
Ah ça c'est rigolo: aux passages piétons, l'on peut voir combien de temps il reste avant que le feu passe au vert. Comment ça, vous n'êtes pas bidonné?
Buvez du Breizh Cola, c'est meilleur, et faites attention: la police veille au grain
A gauche, ce joli bâtiment est l'oeuvre de Gaudi (architecte catalan à qui l'on doit notamment la Sagrada Familia), il abrite maintenant une banque. A droite, c'est la deputation, l'équivalent du Conseil général en France
Une jolie placette
L'artère piétonne centrale qui conduit à la cathédrale
La superbe cathédrale de Leon
En face de la cathédrale, il y a aussi de jolies demeures
Les flèches semblent vouloir crever le ciel comme celles d'Appolon crèvent le coeur des amoureux (une note de poésie dans un monde de brutes)
Leon, ville fortifiée
Les remparts rampent autour du coeur historique
Quelques portes permettent de s'enfoncer dans les ruelles pittoresques
La statue en haut de la porte, immortalisée grâce à mon nouvel appareil et son zoom optique 18x (payé 185 euros sur cdiscount)
Dudulos et Dudula au pénultième jour avant leur union, version yeux fermés d'Elba (un grand classique)
Et maintenant, la même, version yeux ouverts (plus rare)
Autour de la cathédrale
La cathédrale vue de derrière (eh oui, désolé, j'aurais bien fait la cathédrale vue du ciel, mais tout le monde n'a pas les moyens de Yann Arthus-Bertrand, et puis l'avion, ça pollue)
Autoportrait sans oreille cassée
Mûre pour l'échaffaudage
Depuis combien de temps regardent-ils la cathédrale?
Un néléphant qui trompe énormément de touristes
Avec mon pote Gaudi, pas très causant, cela dit
Il est bon, mon pote Gaudi, hein!
Tout est une question de perspective
Une petite chapelle toute jaune (au cas où vous ne l'auriez pas remarqué)
Quand Leon se prend pour Bruxelles (1): le Manneken Pis revisité
Quand Leon se prend pour Bruxelles (2): l'Atomium revisité
De l'art et du cochon
El Corte Inglés (recto), une bonne adresse, l'équivalent de Printemps en France, mais en mieux et moins cher
El Corte Inglés (verso)
Un haut-lieu de la barbarie humaine, autrement dit l'arène de Leon
Leon, cité tropicale aux palmiers luxuriants
Vous êtes nazi? N'allez pas à Leon (et quittez ce blog... ici aussi, vous êtes malvenu)
Un Jacky espagnol fier de poser devant sa voiture tuning
La fontaine est reine à Leon et ce n'est pas une fable
Au détour des ruelles escarpées du vieux Leon se découvrent d'antiques enseignes aguichantes (encore une légende piquée au Guide du petit routard fûté)
Légende A: une jolie placette qui ne manque pas de cachet. Légende B: la multinationale Carrefour va en conquistador en Espagne
C'est-y pas joli, tout ça
Les fannions sont de sortie, peut-être un vestige du titre de champion d'Europe de foot vaillamment conquis par les Espagnols en juin
Officiellement, c'est la plaza Major, un peu l'équivalent de nos grands-places nordistes. Mais comme j'avais mal compris, je l'ai rebaptisée Plaza Majorqua, ça fait plus rêver
Les arcades du pouvoir
Leon a connu trois hôtels de ville au cours de son histoire. Ici, donnant sur la Plaza Major, c'est l'un des deux anciens
Leon, ville d'artistes, et ça transpire même sur ses murs
Ces graffs me font trop penser à Ben Harper, je ne sais pas pourquoi
Visiblement, un poète français aussi est passé par là
100 mètres en contrebas de la Plaza Major, c'est un tout autre visage de Leon qui se découvre
La cité fantôme en pleine reconstruction
Mon graff préféré: "Oui aux taureaux! Non aux toreros!"
Et encore une tite place mimi tout plein
Une enseigne qui donne envie d'aller voir à l'intérieur
Pendant ce temps-là, ces deux-là n'ont pas bougé d'un iota
Une petite statue de la grande cathédrale
Et le cadran solaire pour donner l'heure
Dickens Tavern, non non on n'a pas quitté Leon pour London...
... mais avouez qu'ils ont de beaux arguments pour attirer le touriste de passage
Encore une jolie enseigne
Retouvailles sur le parvis
Nos guides du jour sont deux jeunes célibataires du nom d'Alexandre et Elba
La cathédrale de l'intérieur
Les pieds des futurs mariés (photo assez conceptuelle)
Les trois frères, LG corp
A Leon, on est d'abord fier d'être de Leon. La preuve à l'office de tourisme: sur ce poster était inscrit "Castilla y Leon", la région administrative. Quelqu'un a barré Castilla pour qu'il n'y ait plus que Leon.
Certains revendiquent même l'indépendance de Leon
Les édifices religieux ne manquent pas à Leon
Leon, passage obligé pour les marcheurs qui font le pélerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Alors, des empreintes sont disséminées aux quatre coins de la ville
L'entrée du Toro que je trouvais sympa. Je ne suis pas allé voir à l'intérieur si la déco était aussi kitsch
She's a barbie girl, in a barbie world (à lire sur l'aire de la cultissime chanson d'Aqua)
A la cathédrale de Leon, les mariages se suivent et ne se ressemblent pas
Amor amor, quand tu nous tiens
Le plus beau jour de leur vie restera immortalisé sur ce blog
C'est vrai que la cathédrale est un cadre idyllique pour se dire oui
Dani, un jeune Espagnol aux airs de fils caché de Manu Chao
Scène courante en Espagne: un pépé prend le soleil, assis sur un banc public
Le samedi à Leon, c'est jour de marché sur la Plaza Major
Ca vaut pas Wazemmes, mais c'est quand même sympa
L'occasion de rappeler que, selon les écolos responsables, il faut acheter bio, de saison et local, afin d'éviter les émissions de gaz à effet de serre liées au transport de marchandises
Dans les bars, je me suis mis à lire El Pais, l'équivalent du Monde, mais en mieux... Et miracle! Même si je n'ai jamais fait d'espagnol, je comprenais plutôt bien... Mais pourquoi j'ai fait huit ans d'allemand, moi? Je ne comprendrai rien à Die Deutsche Zeitung, je ne suis pas prêt d'aller passer mes vacances en Allemagne et, surtout, je n'aime pas Tokyo Hotel!
Il flotte un parfum d'amor dans l'air... Dans quelques instants, Dudule et Elba vont se marier (voir post par ailleurs)
Chacun cherche son mariage... A côté de la cathédrale, les costards sont de sortie
Marcin et Pauline font leurs touristes
Une tite puce en tenue de noce
La grande classe (tu l'as achetée où, ta cravate?)
Et deux mariés de plus, deux!
Papa Pascal et princesse Margaux
Début de la série "en verre et contre tout" (je vais essayer d'en faire une expo visible à Beaubourg): Karine choisit son menu
Les jeunes mariés n'ont pas perdu le sourire...
Troisième volet de notre série avec Dudule Junior...
Là, c'est moi pris par Margaux, 3 ans. Chapeau l'artiste!
Elba veut nous dire quelque chose
Après les pieds, les mains des néo-mariés
Franco n'a pas laissé beaucoup de regrets (sur d'autres graffs, des Montebourg espagnols demandent aussi une nouvelle République)
La Plaza Major by night
La cathédrale by night
Nous by night
Le lendemain matin, en route pour la grotte de Valpéquéro!
Une route tracée à travers la montagne qui offre aux touristes de passage des vues imprenables (oui, j'ai obtenu ma thèse du lyrisme en légende bidon avec mention honorable)
La montagne me gagne
Le soleil m'illumine
Les vaches m'émeuvent
Elles font meuh meuh (merci à Marcel et son orchestre qui m'a largement inspiré dans l'écriture de cette légende)
Elles broutent paisiblement
Il ne manque plus que les présidents américains sculptés dans la roche
Une mini-cascade pour un maxi-panorama
Ce sont Karine, Pascal et leur bout de chou Margaux qui m'ont amené visiter cette grotte
En route pour la cueva!
Attention, baisse de la température imminente!
Dans la grotte, on se croirait dans les 12 travaux d'Astérix
Les plafonds seraient-ils à refaire? Ils ont tendance à tomber en lambeaux
Un superbe décor 100% naturel
Pas de peinture rupestre ici
Les stalagtites (avec un t comme "tombent" contrairement aux stalagmites qui ont le m de "montent"... c'était la leçon du jour pour Margaux, 3 ans, fidèle lectrice de ce blog)
Même ici, il y a quand même quelques empreintes bien humaines, à commencer par les spots et le téléphone d'urgence, au cas où la grotte soit inondée
Le spectacle est grandiose
Karine, Margaux et quelques enfants de la colo qui a fait la visite guidée avec nous
A voir sans modération
Retour dehors, au chaud
Margaux a trouvé des jeux plutôt sympas
Elle a un complice pour la pousser dans cette entreprise
Il n'y va pas de main morte
El Pescador, une petite brasserie peu chère et bien sympa où on a trouvé refuge pour reprendre des forces
Sur la route du retour, on a encore droit à quelques paysages majestueux
Que la montagne est belle...
Au milieu coule une roivière...
On se sent petit, voire riquiqui
Ombre portée du ciel sur Terre
Retour à Leon où le mercure frôle les 30°. Mamma mia! Il fait trop chaud pour un Breton
A Astorga, le lion n'est pas mort ce soir
Astorga, jolie petite ville près de Leon, se trouve aussi sur les chemins de Compostelle
De la belle pierre, du bel ouvrage, de belles terrasses pour siroter un bon p'tit coup... Que demande le touriste?
Non non, on n'est pas à Eurodisney, c'est la vraie vie. Astorga, la ville, la vraie
Les Chrétiens ont vu grand ici
La cathédrale d'Astorga, vue d'en dessous
L'intérieur n'est pas mal non plus... Petit coup de gueule: faut payer pour entrer dedans
Saint Laurent, priez pour nous. Pour la petite histoire, on l'a roti comme un cochon... Et quand il a été cuit d'un côté, il a dit à ses bourreaux: "C'est bon, maintenant, vous pouvez cuire l'autre côté"
Un beau retable au fond de la cathédrale
Il n'y a pas que Julien qui est Doré (copyright LG Corp 2008)
Jésus-Christ est un hippie, chantait Johnny. La preuve à Astorga
En Espagne, on peut souvent se désaltérer avec de l'eau potable sur de petites fontaines publiques. Pas forcément très écologique, mais quand même sympathique
Le château-fort de la belle au Bois-Dormant serait-il à Astorga?
La fine équipée d'Astorga
Tout un symbole: le majestueux lion espagnol écrase le petit aigle qui représente Napoléon
Au museo del Jamon, sans doute un haut-lieu de la gastronomie à Astorga
Séquence nostalgie pour les nouveaux mariés...
... et séquence rêve de midinette pour la future mariée?
Le lendemain matin, en route pour les Asturies
On se croirait en Suisse...
... ou à San Francisco
Nous voilà à Gijon (prononcez Riron, en roulant vos "r" si vous y arrivez)
Soleil, mer et sable fin au programme
C'est vraiment le pied
Pas évident de trouver un coin de sable pour poser sa serviette
Elva joue à l'épouvantail, ou bien au pare-soleil?
Le pied, qu'on vous disait
J'ai essayé de montrer à de jeunes Espagnols qui tapaient dans la balle que les Français aussi, malgré leur grand âge, avaient de beaux restes... Photo d'équipe
Une ola pour dire au revoir à la plage
Gijon n'a pas qu'une belle plage...
Elle a aussi des constructions sympas
Voire renversantes, suivant l'angle de prise de vue choisi
Alors lui, c'est quelqu'un d'important... Si je me souviens bien ce qu'a dit Monica, une amie d'Elba qui a été notre guide improvisée, il a niqué Napoléon... ou quelque chose comme ça!
Comme toute station balnéaire qui se respecte, Gijon a son port de plaisance pour riches potentats locaux
Laura essaie de servir le cidre à la mode asturienne (notez aussi le tee-shirt pro-européen de Dudule
Gijon by night
L'heure du départ approche... Petite photo de ma chambre d'hôtel où j'ai dormi pendant une semaine, avant que je ne la quitte...
Et la salle de bain qui va avec!
La place du village où a grandi Elva
Ce village se trouve aussi sur les chemins de Saint-Jacques, comme l'indiquait ce panneau avant qu'il ne soit sauvagement tagué par quelque Espagnol éconduit (je m'abstiendrai de la traduction!)
La mère d'Elva a mis les petits plats dans les grands pour mon dernier déjeuner espagnol.
Une paëlla royale... Miam miam!
Et le bon petit vin qui l'accompagne
Première et dernière coupure publicitaire de ce message
Snif! C'est déjà l'heure de partir
Oh oh oh oh... En apesanteur!
Coucher de soleil aérien
Retour à Charleroi, il fait nuit noire dans mon coeur. Adios Espana! Mais non, ce n'est qu'un au revoir, mes frères...
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